Pour eux, la sécurité est l'affaire de l'État, et non des maires. Comment pouvons-nous inciter les maires à améliorer la sécurité de leur ville ? (Protestations sur les bancs du groupe GDR.)
Deuxième question : je suis consciente de la nécessité de réduire les dépenses de l'État, mais face à la montée de l'insécurité, ne serait-il pas possible de sanctuariser les effectifs de police et de gendarmerie, et de reprendre les investissements dans le domaine de la sécurité ? En ce jour hautement symbolique, je vous le demande avec vigueur, car les femmes sont les premières victimes, et les plus fragiles face à la montée de l'insécurité. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)