Nous avons donc travaillé aux Nations unies et à Bruxelles pour que des sanctions rapides et fortes soient prises. Nous avons également, avec nos partenaires, mobilisé une aide humanitaire importante : deux convois français sont déjà arrivés à Benghazi et nous participons au pont aérien qui permet de ramener des Égyptiens dans leur pays d'origine – un bateau français est également disponible à la frontière tunisienne pour y contribuer.
Il s'agit maintenant d'arrêter la répression meurtrière que le régime du colonel Kadhafi continue à déployer. La France a pris une position très claire : l'OTAN n'est pas l'organisation adaptée pour le faire.