Les compagnies d'assurance auraient pu être favorables à une réglementation qui contribue à stabiliser leurs avoirs. Alors, qui est cet « ennemi » qui pousse à une prudence extrême ?
Quelles sont les contreparties, notamment en termes de placement en actions, des contrats d'assurance-vie « Sarkozy » et « Strauss-Kahn », qui bénéficient d'avantages fiscaux exorbitants ? Depuis deux ans, mon amendement visant à ce que de 2 à 4 % des sommes collectées par ces contrats soient orientées vers les PME ou les jeunes entreprises innovantes est refusé par Bercy. Qu'en pensez-vous ?