À vous entendre, il ne faudrait toucher à rien, sauf peut-être aux actions, pour vous éviter d'être mis à contribution. Pourtant, je continue à m'interroger, comme M. Launay, sur votre état de santé, et non sur celui des assurés.
Votre activité ne se limite pas à l'assurance-vie. L'année dernière, le Gouvernement nous avait assurés que les mesures qu'il prenait n'auraient qu'une incidence marginale sur les clients. Pourtant, les primes ont augmenté pour vous permettre d'être plus « profitables ». Il n'y a pas de raison de ne solliciter que vos clients pour renflouer les caisses de l'État.
Comment voyez-vous votre avenir en général ?