La communauté internationale réagit avec retard au développement de la piraterie. On comprend qu'elle ne veuille pas retenir l'option militaire, mais la voie juridique est-elle suffisante, compte tenu de la misère de la Somalie et de la relative impunité réservée aux hommes de main ? Le plus efficace ne serait-il pas de s'en prendre aux commanditaires des opérations, par exemple en créant un tribunal international devant lequel ils seraient traduits ?