Je ne vois pas en quoi il s'agirait d'une avancée.
Mme Le Loch, M. Gaubert et M. Dumas ont insisté sur le devoir d'information auprès des consommateurs et sur la nécessité de la transparence qui valorise les entreprises ayant fait des efforts sur leurs produits. Je n'ai pas dit autre chose dans mon propos initial. Je le répète, 90 % des produits font déjà état de leur composition nutritionnelle. Les autres sont généralement fabriqués par des TPE qui se préparent à appliquer le règlement communautaire, lequel, j'y insiste, sera plus exigeant que ce que vous nous proposez aujourd'hui.
M. Calméjane a souligné qu'il nous fallait rester cohérents avec notre politique européenne. Nous avons défendu avec force le principe de l'étiquetage obligatoire. J'ai voulu être consensuel avec vous, parce que nous sommes d'accord.