Sur cette question, je ne voudrais pas anticiper sur le débat qui ne manquera pas de nous animer tout à l'heure.
Mesdames et messieurs les députés, je vous sais autant que nous déterminés à faire vivre l'esprit de la loi du 11 février 2005. Par cette proposition de loi, vous y concourez pleinement. Soyez en remerciés.
Je ne voudrais pas achever mon propos sans rendre hommage aux associations représentatives des personnes handicapées, présentes dans les tribunes.