Cher collègue Mariton, je sens bien que nous atteignons-là l'inconciliable. Nous ne pouvons tomber d'accord dans ce débat parce que nos références sont fondamentalement différentes. Je le répète, le glissement vers une conception biologisante de la personne humaine nous renvoie à des comportements du XIXème siècle – je pense à ce qu'a écrit Muray – : aux États-Unis, chaque fois que l'on était confronté à une crise économique, on ressortait l'explication biologique de la différence entre les individus.
Il est extraordinairement dangereux de rester figé sur ce positionnement. La personne humaine est née de la relation avec autrui.