La suppression de cette partie du texte, initialement proposée par Mme Bachelot, est à mon sens parfaitement légitime.
En revanche, je suis en désaccord avec vous sur un certain nombre de points.
Mon premier désaccord est le plus grave. M. Jean-Sébastien Vialatte, vient de l'évoquer. En choisissant le statu quo sur la recherche sur l'embryon, vous maintenez la France dans le camp des pays les plus conservateurs sur ce sujet.