Elles sont alors conduites à dissimuler même la nature du mode de procréation qui a été utilisé.
Imaginons d'ailleurs les dangers d'une société où chacun d'entre nous voudrait absolument savoir toute la vérité scientifique sur la paternité biologique. Chacun voudrait faire des tests tous azimuts et nous découvririons alors que 5 à 10 % d'entre nous n'avons pas le père que nous croyons…