Nous devons confronter nos principes avec le réel : nous ne pouvons pas nous contenter de les énoncer sans nous préoccuper de leurs effets. Des propositions existent, notamment la proposition de loi d'origine sénatoriale, pour encadrer cette pratique et en écarter tout risque marchand.
Je crois que l'hostilité gouvernementale à la légalisation de la gestation pour autrui s'explique aussi par la crainte de voir cette technique ouvrir, potentiellement, la possibilité de procréer aux couples du même sexe.