Nous assistons, en effet, à un prosélytisme renaissant, que nous suivons de très près. Dès lors qu'il y a incitation à la haine et à la violence, l'État a le devoir de réagir. Il le fait avec différents cas de figure juridiques, selon que le prédicateur, quand il s'agit d'un prêche, possède ou pas la nationalité française.