Je me suis rendu en Afghanistan la semaine dernière et j'ai trouvé le personnel sur place, nos militaires comme diplomates, de grande qualité.
Ma question porte sur le secteur de la Kapisa. La présence des deux otages dans notre secteur d'opérations perturbe évidemment l'action de nos soldats. Cette contrainte s'inscrivant dans la durée, ne peut-on craindre qu'elle rende leur libération toujours plus difficile, compte tenu notamment de l'avantage tactique que procure à la rébellion le fait de disposer de « boucliers humains » ?