Les quatre intervenants ont traité toutes les dimensions de la dépendance.
Oui, le contrat social est fondamental : toute réponse doit s'inscrire dans ce cadre.
Monsieur Argoud, préconiser la personnalisation face à la montée en puissance du libre choix me semble être une réponse de jésuite, dans la mesure où la première implique le second. Quelle limite posez-vous au libre choix ?
Mme Joël a insisté sur la dimension personnelle. Faut-il en déduire que la dimension collective ne permet pas d'apporter une réponse satisfaisante ?
Lors de nos débats sur la CNSA, nous avions souhaité une convergence entre le handicap et la vieillesse. Dans cette logique, la solution doit être globale. Soulager les conseils généraux serait une première réponse collective et solidaire. Il conviendrait d'en apporter d'autres aux questions liées au financement. Le débat est lancé.
Peut-on, selon vous, faire valoir la solidarité de base et faire tomber la barrière d'âge, en traitant uniquement la dépendance ?