Politiquement, le vin et les boissons alcoolisées seraient alors soumis à des restrictions plus fortes que le tabac.
Je souhaite donc, madame la secrétaire d'État, que le débat soit ouvert pour l'ensemble des produits touchés par la loi Évin, car actuellement l'application de celle-ci peut remettre en cause tout acte créatif évoquant une boisson alcoolisée – livre, film, poésie, chanson, peinture – ou toute évocation d'un terroir.