Nous sommes bien entendu d'accord avec cet amendement que nous avons cosigné. Je voudrais simplement souligner que la pertinence de la démarche que nous avons initiée réside également dans le fait que nous avons parlé du « domicile » des personnes. D'une certaine manière, on s'est inscrit dans leur propre histoire. Je ne fais pas de poésie en m'exprimant ainsi : nous sommes bien dans l'histoire des gens qui ont construit en dépensant de l'argent. En utilisant la technique de l'indemnisation et en fixant des règles à cette aide financière, on signifie à ces personnes que c'est le domicile qu'ils ont construit que nous allons faire entrer dans le processus de l'aide financière. Cette approche, extrêmement importante, a permis de nous faire converger sur la solution proposée ce soir.
(L'amendement n° 24 est adopté.)