Il n'empêche que la rigidité des règles actuelles ne permet pas de maintenir la population des espèces au niveau souhaitable. Elle est d'ailleurs contraire à ce que l'on nous demande dans le cadre de Natura 2000 – je préside le comité de pilotage de la Sologne –, à savoir maintenir les activités ayant permis d'atteindre les objectifs en matière de biodiversité, qui est menacée par le développement de certaines espèces.