Je partage le point de vue exprimé sur la protection des espèces : le cas des cormorans, protégés de façon excessive, est révélateur ; ce faisant, on met en péril la pisciculture, qui entretient la biodiversité des zones humides comme la Sologne ou la Brenne. Les mesures de protection doivent évoluer en fonction de la vie de la nature et des besoins. Je tire donc la sonnette l'alarme.