Je m'adresse à notre collègue Jacques Grosperrin, qui semble d'accord avec l'esprit, mais souhaite trouver, je le cite, « une autre possibilité ». La question que je lui pose est simple : laquelle ? Nous ne pouvons pas en effet rester, l'arme au pied, devant cette question, une fois qu'elle est posée ; nous devons nous en saisir et trouver la réponse !