Nous ne sommes pas dans une logique de fragmentation. Notre objectif et notre intérêt sont que le Kosovo soit un Etat viable et responsable, dans une péninsule balkanique prospère et recomposée. Nous souhaitons que le Kosovo devienne un pays banal et sans histoire, que la région se rapproche progressivement de l'Europe et que nous, Européens, puissions consacrer nos ressources et nos énergies à relever les défis cruciaux pour notre avenir : l'environnement, la gouvernance économique mondiale et la régulation financière internationale, les relations avec les grands émergents.