M. Lefort a demandé de ne pas instrumentaliser les choses, mais je ferai remarquer que cela est au contraire toujours le cas : quand on se souvient de la chute du Mur de Berlin, on voit que ce principe a toujours été vérifié. Au Kosovo, la situation actuelle est des plus préoccupantes et les responsabilités sont partagées : il faudra mettre en lumière celle de la MINUK et celle d'Eulex. Á quoi cette dernière opération sert-elle ? Elle apparaît bien discrète ! La Serbie ne bénéficie-t-elle pas, par comparaison, de ce qui se passe au Kosovo ?