Et si vous n'avez pas agi, c'est que ceux parmi vous qui étaient attachés au débat juridique n'avaient pas droit à la parole ; nous avons d'ailleurs retrouvé ce clivage au sein de la commission, et nous allons le retrouver en séance publique.
En effet, le discours sécuritaire est évidemment en contradiction complète avec ces dispositions relatives à la garde à vue que nous sommes obligés, sous la contrainte, d'inscrire dans notre droit.