Je pourrais évoquer le satisfecit donné au Gouvernement de M. Ben Ali par Dominique Strauss-Kahn au mois d'octobre 2008, quelques minutes après avoir reçu du chef de l'État tunisien une haute décoration. (Applaudissements et exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Mais je ne le ferai pas, parce que ce ne serait pas à la hauteur du défi que doit relever le peuple tunisien.