Entre 2008 et 2010, ils ont bénéficié de taux de rendement quatre à six fois supérieurs à la croissance.
M. le rapporteur général s'est également interrogé sur le besoin de logements sociaux. Cette année, dans ma région, 20 % des prêts ont été refusés, ce qui nous a contraints à restreindre d'autant nos demandes. La pénurie est donc déjà là.
Je suis toujours frappé par la différence entre ce qu'on constate sur le terrain et la version que l'on nous présente à Paris. Compte tenu de la situation des finances publiques, n'est-il pas nécessaire de ménager, pour l'avenir, la capacité de l'État à financer les infrastructures ? Si quelqu'un s'inquiète pour les banques, qu'il regarde leurs résultats !