Dans le cadre de la commission d'enquête sur les mécanismes de spéculation affectant le fonctionnement des économies, M. Oudéa, qui ne répondait pas volontiers à nos questions, s'est longuement étendu sur la centralisation du livret A, en invoquant le coût pour les banques des accords de Bâle III. Mais je vous laisse mesurer l'écart entre le taux de 1,75 % versé aux détenteurs d'un livret A et les dividendes servis à ceux qui constituent les fonds propres des banques.