Vous nous avez dit qu'en général, les problèmes se posaient, non pas au siège des 2 000 multinationales que vous contrôlez, mais au niveau de leurs filiales, dans des zones plus éloignées. Est-ce pour des raisons financières, ou du fait de l'absence de réglementation dans les pays où ces filiales sont implantées ?
Quelles sont les conséquences d'une mauvaise notation pour les entreprises qui en sont l'objet ? Votre évaluation a-t-elle pour effet de les « tirer vers le haut », comme c'est le cas pour les associations et les ONG ?