On a parlé d'attelage, mais je vais poursuive dans le fil des propos de M. Vanneste.
Si ce ne sont que des adjoints, des collaborateurs, cela pose deux problèmes : le Défenseur des droits a une masse de compétences qu'il ne pourra pas assumer de façon attentive, attentionnée et spécialisée ; et ses adjoints n'ont aucune légitimité.
À travers différents amendements, nous demandons simplement à ce que les commissions compétentes de l'Assemblée nationale puissent donner un avis sur le choix de ces adjoints, c'est-à-dire de les légitimer en quelque sorte, de leur donner plus de poids dans la gestion de leurs dossiers.
En quoi cela remettrait-il en cause les choix – que je n'avais pas faits – de l'assemblée constituante ? Il faut donc adopter ces amendements.