, a néanmoins expliqué que la France avait déjà pris deux sortes de mesures : un plan d'action du ministère de la santé pour des études scientifiques sur les groupes sensibles – enfants, femmes enceintes, foetus ; et un plan d'action et de recherche du ministère de l'environnement, le Programme national de recherche sur les perturbateurs endocriniens (PNRPE), défini en 2005.
En conclusion, il a proposé de limiter le champ de la saisine à « l'état de la recherche sur les perturbateurs endocriniens et leurs effets sur la santé humaine ».