, a fait état d'un « effet cocktail » qui peut quelquefois annihiler, mais surtout potentialiser, l'action des perturbateurs endocriniens.
Il s'est alors interrogé sur la gestion du risque face à ces incertitudes.
Il a rappelé que la réglementation existante était inadaptée aux perturbateurs endocriniens. En effet, pour les produits chimiques en général, on définit une dose seuil au dessous de laquelle il n'y aurait pas d'effet technique efficace pour détecter les effets à faible dose et à long terme des perturbateurs endocriniens.
Il a également insisté sur l'apparition tardive des troubles, que ce soit chez l'individu exposé ou ses descendants.