Permettez-moi de m'inquiéter du lien que vous avez semblé établir entre la situation politique et sociale grecque et l'utilité de cet accord. Il ne serait pas acceptable que ce dernier permette des échanges d'informations sur des responsables syndicaux, par exemple ! C'est aller un peu vite que de justifier une coopération en matière de sécurité intérieure par le risque d'une déstabilisation de la Grèce, qui aurait des conséquences sur l'Union européenne !
Je m'interroge aussi sur la nécessité de conclure un tel accord bilatéral entre deux Etats qui font partie de l'espace Schengen : celui-ci n'est-il pas en lui-même une zone de coopération ?