Je regrette vivement l'intervention du rapporteur général, car je voulais taire ce qui constitue la création d'une niche… pour abriter des chiens de traîneau ! (Rires et applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
La position du rapporteur général m'impose d'abattre mes cartes. Nous avons évidemment, dans notre bienveillance, décidé d'accompagner la profession, mais je pose la question à M. Bouvard : qu'est-ce que l'on fait pour les chiens qui sont dans les plaines ? Ce n'est pas seulement une affaire de montagnards ! (Sourires.)