Les reports de crédits qui faussaient les comptes – Didier Migaud le sait bien : 14 milliards d'euros ont été reportés de 2001 sur 2002 – ont été réduits de façon massive à moins de 4 milliards.
En outre, comme M. Cahuzac l'a relevé lui-même, nous avons mis en place une réserve de précaution qui permet de gérer au mieux les dépenses, et dont le montant est désormais décidé par le Parlement. Celui-ci vote le taux de réserve en même temps que le budget. Nous avons donc apporté une grande rigueur à la maîtrise de l'évolution de la dépense.