Il a donc fallu remettre de l'ordre dans nos finances publiques, et les chiffres sont éloquents, monsieur Emmanuelli. En 2002, le déficit représentait 3 % du PIB. En 2006, nous l'avons réduit d'un demi-point et ramené à 2,5 %.
Puisque certains ont évoqué les chiffres de 2007, qui ne sont pas encore…