Je parle sous le contrôle de notre éminent collègue François Scellier, avec qui nous avons, en commun, au-delà du prénom et du département, la même formation de fiscaliste. Dire à ces organismes qu'ils auraient dû investir il y a deux ans, alors qu'ils ne le savaient pas, et les taxer de surcroît, est quasiment impossible ! D'ailleurs, vous le reconnaissez vous-même, monsieur Piron, puisque vous présentez un amendement n° 76 rectifié tendant justement à éviter la rétroactivité !