Monsieur le président Pflimlin, comment pensez-vous concilier à l'avenir les dépenses inhérentes à votre ambitieux programme et une ressource publique qui se raréfiera d'évidence, puisqu'il est hors de question d'augmenter la redevance et que la dotation budgétaire de l'État ne peut que diminuer à terme ? La question se pose d'autant plus que, dans le même temps, les économies attendues de la mutualisation des achats de programmes et du plan de départs, mis en exergue par votre prédécesseur, sont largement remises en cause.