La commission a repoussé cet amendement pour deux raisons.
D'abord, M. Le Bouillonnec semble vouloir « revisiter » le principe même des conventions. Je le répète, celles-ci ont pour objet de territorialiser la recherche des réponses à donner aux questions d'habitat. Elles satisfont donc, de toute évidence, à la préoccupation des auteurs de l'amendement.
Ensuite, le second alinéa de l'amendement vise à régionaliser l'approche, ce qui conduirait à une certaine uniformité, certes moindre que si l'on optait pour la centralisation mais qui gommerait tout de même la diversité des territoires.