Dans la même logique, les régions ont besoin de financer des réseaux infrarégionaux qui, avec le cadencement, servent à la fois de transport dans les agglomérations et de trains en dehors.
De la même façon que l'on vient de porter à 0,85 % le plafond du versement transport pour financer des transports urbains, les présidents de région et l'Association des régions de France demandent qu'on leur offre la possibilité de voter un taux additionnel maximal de 0,2 %.
Je me souviens du débat que nous avons eu en commission et de la réponse du rapporteur général, mais il faut être conscient qu'aujourd'hui une partie des transports dans les grandes agglomérations se fait par le cadencement des transports infrarégionaux.