Alors ne m'attribuez pas des actes dont je ne suis pas forcément coupable.
Pour conclure et valider notre amendement, je reviens sur les propos du rapporteur général. Que nous a-t-il dit ? Primo que cela a coûté plus que prévu ; deusio que l'objectif a été détourné ; tertio que l'objet est arrivé en 2004.
Quand même, depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy, le pouvoir exécutif s'agite dans toutes les directions comme un vibrion. Cela fait penser à la vache folle ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Vous n'avez rien fait depuis six ans pour tirer les conclusions de vos observations.
Le rapporteur général – dont on connaît l'aptitude à manier les mots et leurs concepts sous-jacents – vous parle de « mesures auxquelles il faut faire très attention », monsieur le ministre. Traduit en langue vulgaire, cela signifie : des mesures néfastes auxquelles il faut mettre un terme.
C'est ce que propose mon amendement.