Nous abordons là une proposition du Président de la République qui l'a présentée comme une proposition phare : le rapprochement des fiscalités française et allemande.
Je comprends que le ministre ne veuille pas répondre, car il se trouverait en difficulté.
En vérité, le Président de la République a sorti cette proposition de son chapeau sans en parler au préalable avec la partie allemande. Or les Allemands ne sont pas du tout intéressés par ce sujet, et vous connaissez l'affection distante de la Chancelière pour le Président de la République.