Il faut donc soutenir le projet de la Porte de Bagnolet. C'est un devoir commun de veiller à ce que l'implantation ne se fasse pas Porte d'Issy. Il faut démontrer à ce quarteron de fonctionnaires que vous évoquiez, monsieur Deniaud, mais qui n'ont rien à voir, dans les faits, avec la fonction publique, que ce ne sont pas eux qui décident, mais les parlementaires, dans le sens du service public et de l'intérêt général.
J'espère que, demain, d'autres fonctionnaires iront s'installer à Bondy, par exemple, où il serait vraiment nécessaire d'implanter des emplois, non seulement pour vous faire plaisir, madame la présidente, puisque c'est votre circonscription, ainsi qu'à Gilbert Roger qui en est le maire, mais aussi parce que plus ces territoires auront d'emplois, plus ils vivront de façon autonome, et moins il y aura de difficultés sociales. L'emploi et l'habitat seront proches et il n'y aura pas de vastes zones dortoirs.
Alors, oui ! Vive la porte de Bagnolet ! Et merci, mon cher compatriote Deniaud, d'avoir soutenu un tel projet. Bien que Normand, vous penchez vers l'Est, face à ces hauts fonctionnaires qui confondent la Seine-Saint-Denis avec la Sibérie ! (Rires.)