Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, le Conseil européen des 16 et 17 décembre prochains se tiendra à peine plus d'un an après l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, le 1er décembre 2009. Je crois que nous pouvons tous nous féliciter de constater que ce sommet des chefs d'État et de gouvernement abordera des sujets importants, ayant fait l'objet d'un intense travail de préparation, et qu'il le fera sous l'égide d'un président stable.
C'est précisément pour améliorer l'efficacité des travaux du Conseil européen que le traité de Lisbonne avait prévu cette présidence stable. N'oublions pas de dire ce qui va bien, ce qui marche en Europe, en des temps où, par ailleurs, les difficultés ne manquent pas.