Je me félicite, par exemple, que les investisseurs soient appelés à assumer éventuellement leur part de responsabilité financière en cas de difficulté des débiteurs publics. Cette demande de l'Allemagne est juste ; la France l'a soutenue – ce qui devrait rassurer M. Caresche – et le Conseil européen doit à présent le confirmer. Pouvez vous, monsieur le ministre, nous indiquer l'état des discussions sur ce sujet clé ?
Troisième priorité : un effort renouvelé de prévention des crises bancaires. Il faut aller plus loin dans la régulation et la prévention, pour rétablir la confiance dans la solidité des banques. On a bien vu, avec l'Irlande, les limites des « stress tests » effectués au niveau européen.