…dont l'Irlande qui, nous le savons, reste fermement accrochée à son taux d'imposition sur les sociétés.
Tout le monde va devoir faire des efforts, mais il faut savoir ce que l'on veut. Auparavant, le bonheur des uns a fait le malheur des autres : pensons aux faibles taux d'intérêt pratiqués par la BCE qui ont favorisé les croissances atones de l'Allemagne et de la France, mais créé, par la même occasion, des bulles en Irlande et en Espagne.