J'aimerais compléter les propos du président sur les lenteurs de certaines cessions immobilières. Je les constate également dans ma ville, qui s'est portée acquéreur d'un terrain militaire voici maintenant deux ans et qui attend toujours que l'État procède à la vente. D'une certaine façon, parmi les 20 millions d'euros dont il a été question, 500 000 euros sont imputables à la lenteur de cette cession.