Il faut donc lutter contre l'opacité et la fragmentation, y compris au G20, et être maximaliste en refusant d'écouter les sirènes qui justifient l'opacité. La transparence doit être le maître mot, et si fragmentation il y a, alors elle doit avoir pour corollaire l'harmonisation sous l'égide des régulateurs, de façon que les transactions puissent être contrôlées. En l'état actuel des marchés, une nouvelle crise serait un choc redoutable, d'autant que, paradoxalement, l'opacité et la fragmentation ont continué de s'aggraver.