S'agissant du trading « haute fréquence », le président de l'AMF a reconnu devant notre commission qu'il ne disposait pas, à l'heure actuelle, des moyens technologiques pour assurer un véritable contrôle. Qu'en est-il au niveau européen ? Faut-il s'orienter vers la limitation du développement et de la sophistication de ces échanges ?