J'ai reçu un mèl signé de médecins travaillant dans des hôpitaux importants, notamment à Paris ou à Marseille, disant que cette proposition de loi ne faisait pas l'objet d'un consensus de la communauté scientifique, que le dépistage néonatal n'était pas justifié et qu'il convenait de préférer un dépistage plus tardif vers 3 ou 4 mois. J'avoue que ces arguments et la qualité des signataires m'inquiètent.