Il sera difficile de légiférer, mais on peut tout de même agir là où sont prises les décisions : conseils d'administration et comités exécutifs où, dans notre pays, les femmes siègent peu.
Prenons par ailleurs l'exemple d'une session de formation. Vous pouvez soit l'organiser à Paris pendant deux ou trois jours soit la démultiplier dans vingt-cinq régions. Pour les femmes, la formule choisie changera tout : viendront à Paris les hommes, éventuellement des femmes célibataires sans enfants, voire quelques mères qui auront pu s'arranger avec les parents ou beaux-parents pour garder les enfants…