Le problème du ministère est qu'il agrège les informations, notamment les indicateurs des rapports de situation comparée. Cela nous empêche de distinguer, par exemple, ce qu'il advient dans la période entre vingt-trois et trente et ans. Nous n'avons qu'une vision globale. Le pourcentage que tout le monde connaît, à savoir 26 % d'écart salarial entre les hommes et les femmes, n'est pas signifiant en lui-même parce qu'il ne nous permet pas de dire sur quel levier il faudrait appuyer. Nous pouvons donner des lignes directrices, mais les solutions et les actions pratiques doivent partir du bas.