Il nous a paru impensable de traiter dans la nuit du 16 au 17 novembre de sujets aussi importants que la réforme du prêt à taux zéro, le coup de rabot sur les niches fiscales ou le traitement fiscal du mariage ou du PACS. Nos débats ayant été constructifs et dépourvus de polémiques, ce dont je remercie tous nos collègues, et ayant débouché sur des votes consensuels, voire unanimes, j'ai regretté que le Gouvernement revienne sur des décisions qui auraient abouti, non à des dépenses inconsidérées, comme l'a prétendu Bercy, mais à des économies.